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L'Alsace en musiques - Page 2

  • L'Alsace à l'opéra

    Le 4 janvier 1864, aux Bouffes Parisiens, Offenbach présente ce qu’il qualifie lui-même de “conversation alsacienne en 1 acte“, un petit opéra-comique intitulé “Lischen et Fritzchen ou Alsacien et Alsacienne“, qui ne comporte que deux personnages : Lischen, Alsacienne, marchande de balais, et Fritzchen, Alsacien, domestique. Les deux personnages, à l’accent alsacien prononcé, se rencontrent par hasard dans la rue. Chacun d’eux croit que l’autre se moque de son accent jusqu’au moment où ils découvrent qu’ils sont tous les deux Alsaciens !

     

     

  • Strasbourg - Straßburg

    Deux chants militaires consacrés à Strasbourg, l'un français, l'autre allemand…

     

     

  • Marche !

    Adolphe Sellenick, bien que né à Libourne, est Alsacien : son père était originaire de Niederbronn et lui-même a grandi à Strasbourg et deviendra chef d’orchestre à l’opéra de la ville (qu'il quittera pour prendre la tête de la musique de la Garde Républicaine). Il a dû y laisser de bons souvenirs puisque son nom a été donné à la rue où se trouve le Palais des Fêtes (jusqu’en 1972, la salle de concert de Strasbourg).

    La marche “Rhin et Danube“, de François-Julien Brun, est la marche officielle de la Première Armée Française, commandée par le général de Lattre de Tassigny, celle-là même qui libéra Colmar. Ce sont d’ailleurs les armes de Colmar qui figurent sur son insigne régimentaire.